MISSIONDU SALUT EN CHRIST Cellules de maison Dimanche 19 juillet 2020 Thème : N’ayons pas peur, continuons notre marche Texte : Matthieu 14 : 22 – 29 Commentaire : Dieu n’a certainement pas créé notre monde pour qu’il soit en permanence une menace pour les hommes. Notre environnement a été créé pour favoriser l’éclosion Naie pas peur de pleurer, Je serai toujours là pour te consoler. N'aie pas peur de tout me raconter, Je suis là pour t'écouter. Tu es quelqu'un de très important, Mais une simple amie pourtant. Tu es ma meilleure amie, Pour toi je donnerais ma vie. lauraduqde@ Poème de Lilie_50. La vraie amitié L'amitié, Un sentiment que je partage avec toi Depuis Autrechose : mon but n’est pas de vous faire vivre dans le monde des bisounours. Cela vous fait peut-être sourire, mais beaucoup de personnes me disent que je vis dans le pays des bisounours et c’est faux. Être positif et optimiste ne veut pas dire ne pas être réaliste. Au contraire, vous êtes réaliste, vous êtes conscient que tout n’est pas cash. Article réservé aux abonnés Londres, 19 juin. - M. Eden était hier l'hôte d'honneur d'un dîner des " Pèlerins de Grande-Bretagne ", qui réunissait quatre cents ambassadeurs, parlementaires, évoques et autres grands du royaume. La société des " Pèlerins " se consacre au développement de l'amitié anglo-américaine. Il était donc normal que M. Eden déclarât d'abord " Tout est possible, aussi longtemps que l'unité et la compréhension mutuelle existent entre les alliés britanniques et américains. Rien ne peut être construit s'ils sont séparés. " Le secrétaire du Foreign Office a certes salué avec chaleur " une communauté européenne qui combine ses forces et ses énergies plus étroitement que jamais dans l'histoire " ; il a néanmoins présenté les peuples anglo-saxons comme la véritable source de la plus vaste communauté atlantique. Deux thèmes ont dominé son discours le premier est celui de l'indépendance réelle que les partenaires atlantiques devraient maintenir, même si les liens qui les unissent sont indissolubles ; l'autre la nécessité pour la puissante communauté atlantique en train de s'élaborer, de permettre de " négocier avec les Russes un règlement honnête ". On doit attendre avec confiance, a déclaré M. Eden, le moment où " une détente paraîtra aussi désirable aux Soviets qu'à nous-mêmes ". Des formules aussi générales ne risquaient pas de troubler le ciel diplomatique, et les paroles du secrétaire du Foreign Office étaient jusque-là en parfait accord avec le ton académique des discours prononcés au dîner des " Pèlerins ". Mais le secrétaire du Foreign Office tenait apparemment à être plus précis. " Permettez-moi d'ajouter, dit-il, que lorsque survient une chance de négocier et d'améliorer les relations, nous ne devons pas en être effrayés. À mesure que notre force croît, notre confiance et notre assurance devraient croître également. " Il était évidemment difficile qu'un auditoire de diplomates ne discernât pas dans cette phrase une allusion très directe aux controverses de ces derniers jours, et une façon d'affirmer en public la thèse de Londres et de Paris en faveur d'un " contact vivant " avec les Russes au sujet de l'Allemagne. C'était aussi une manière de prendre position en vue des entretiens qui s'ouvriront lundi avec l'arrivée de M. Acheson dans la capitale britannique. Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Découvrir les offres multicomptes Parce qu’une autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois ordinateur, téléphone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? 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Allez, c’est parti!. . .Rejoindre le Club Direction Excellence CDE, visite le l’article complet de cet épisode, simplement vous rendre dans ma section spéciale Podcast» sur mon site web à l’adresse suivante la chaîne Youtube de Direction Excellence toutes questions, suggestions ou commentaires, n’hésitez pas à me contacter directement à l’adresse suivante info . .La 2e stratégie que je souhaite te partager dans cette série, c’est de rester toi-même. Être authentique est une clé tellement importante pour enfin arriver à ne plus se soucier de l’opinion des autres. Plus tu crois en toi et que tu restes toi-même, moins l’opinion des autres n’a d’impact. D’abord, j’aimerais te rappeler que tu es en train de courir ta propre course. Chaque personne sur cette terre a son propre parcours unique qui lui appartient. Je suis en train de faire ma course, tu fais la tienne et on ne devrait pas avoir le temps de s’arrêter pour ce que les autres en ne suis pas en train de dire qu’il faut vivre dans une bulle isolé des autres, j’essaie juste de te faire réaliser que tout le monde est occupé à gagner sa propre course. Même si tu t’imagines le contraire, les autres s’en foutent un peu de ce que tu fais. Ils sont occupés avec leur chemin à parcourir. En général, l’être humain est plutôt centré sur lui-même, donc les gens ne pensent pas autant à toi et tes actions que tu peux te l’imaginer. Alors, tu as tout intérêt à t’écouter et à demeurer toute façon, si tu n’es pas vrai», c’est comme si tu portais un masque en permanence. C’est comme si tu ne montrais jamais ton vrai visage, que tu te cachais derrière un personnage qui n’est pas peur d’être rejeté et pour plaire à tout prix, je le sais qu’il y a des gens qui font ça, qui vont changer leur attitude et leurs préférences selon les gens qu’ils fréquentent. C’est tout l’opposé d’être authentique. En plus, je te dirais les gens sont rapides à cerner une personne qui n’est pas authentique, ça sonne le point le plus important à comprendre ici, c’est que si tu n’es pas authentique, tu vas attirer les mauvaises personnes vers toi. Ce que je veux dire c’est que tu vas attirer des gens qui aiment la personne…que tu n’es pas vraiment. Les gens connectent avec toi avec la façade que tu leur proposes, mais en réalité ce n’est pas vraiment toi. Tu ne peux pas bâtir des relations sincères si tu n’es pas vraiment toi-même, si tu te caches derrière un personnage. Jésus ne pouvait-il pas entrer discrètement à Jérusalem ? Si, bien entendu ; à plusieurs reprises dans l’Évangile, sachant qu’il est menacé de mort, il se rend discrètement aux fêtes. Alors pourquoi cette entrée triomphale d’aujourd’hui ? La joie du Seigneur Jésus n’est pas feinte ; c’est une joie authentique, bien loin du divertissement sans but derrière lequel, trop souvent, nous cachons notre mal de vivre. La joie du Seigneur est aussi une joie lucide Jésus n’est pas un doux imbécile qui se laisse acclamer sans se douter de ce qui l’attend. Jésus n’est pas un brave type qui subit un malheur qui le dépasse. Les foules qui l’acclament en disant Béni soit celui qui vient, le Roi, au nom du Seigneur » disent vrai Jésus est vraiment Seigneur et Roi. Si Jésus se laisse acclamer, au grand scandale des pharisiens, c’est parce que, dès son entrée à Jérusalem, son regard se porte déjà au-delà des jours de la Passion, vers sa victoire définitive de Pâques. C’est comme Seigneur et Roi, et non comme victime impuissante, que Jésus entre dans sa passion. Il ne subit rien, il fait face. Le prophète Isaïe, qui écrit longtemps avant Jésus, nous parle d’un disciple à l’écoute de la volonté de Dieu et qui choisit de ne pas s’y dérober, car il sait qu’il ne sera pas abandonné pour toujours. L’apôtre Paul, qui écrit un peu après Jésus, nous le dit plus clairement encore le Christ Jésus, lui qui est Dieu, n’a pas contemplé le monde de haut, il a volontairement choisi la place du serviteur obéissant, de l’innocent condamné, car il avait déjà en vue le triomphe de Pâques. Je voudrais que nous en soyons bien convaincus la passion n’est pas un malheureux concours de circonstances. Le Seigneur Jésus ne subit pas les événements, il les maîtrise. Pour mieux nous en rendre compte, promenons-nous ensemble dans le récit de la passion. Ce n’est pas en homme passif qu’il annonce sa mort J’ai désiré d’un grand désir manger cette Pâque avec vous avant de souffrir. » Sa vie, nul ne la lui prend, il la donne de lui-même. Au cours du repas, il anticipe ce don total il rompt le pain et fait passer la coupe Ceci est mon corps, donné pour vous… mon sang répandu pour vous » et il annonce à Judas et à Pierre qu’ils vont le trahir et le renier. Au jardin des oliviers, Jésus prie. Il voit que l’épreuve l’attend, et aussi qu’elle est le seul moyen pour nous donner le salut. C’est librement qu’il décide de ne pas se dérober Que soit faite, non pas ma volonté, mais la tienne. » Trahi, arrêté, condamné, torturé, exécuté, Jésus continue d’agir guérir le soldat blessé, enseigner ses accusateurs, consoler les filles de Jérusalem, pardonner à ses bourreaux, réconcilier le criminel crucifié à côté de lui. Est-ce que ce sont là les actions d’un homme qui subit ? Le Seigneur Jésus ne subit pas les événements, il les maîtrise. Au seuil de la semaine sainte, alors que nous allons entrer avec Jésus dans sa passion, nous pouvons être rassurés et en sécurité. N’ayons pas peur. N’ayons pas peur en considérant les événements du monde. Épidémie, guerre, crise politique, crise économique, crise climatique… le Seigneur ne subit aucun des aléas du monde, il sait les faire mystérieusement tourner au bien de ceux qui l’aiment. Tant que nous tenons la main de Jésus, nous n’avons rien à craindre. N’ayons pas peur des épreuves du quotidien. Jésus a eu sa part de fatigues, d’angoisses, de deuils, il sait de quoi nos vies sont faites, il n’est pas impuissant à compatir avec nous. Il ne fait pas disparaître les épreuves de cette vie – lui-même en a connu – mais il les traverse avec nous. N’ayons pas peur non plus de considérer nos propres ténèbres. Jésus est semblable au médecin le plus compétent et le plus délicat qui soit. Il connaît le cœur de chacun, il connaît ce que je n’ose avouer à personne, y compris à moi-même. Il me connaît parfaitement et il m’aime. Et parce qu’il m’aime, il désire que je sois meilleur, que je me détourne de mes noirceurs, de tout ce qui me pollue, m’étouffe et m’englue ; il désire que j’accepte la réconciliation qu’il m’offre. N’ayons pas peur enfin de mettre notre foi en Jésus. Je ne puis craindre un Dieu qui s’est fait pour moi si petit[…], disait sainte Thérèse, car il n’est qu’amour et miséricorde. » Du haut de la croix, Jésus donne son amour et sa miséricorde et nous supplie de l’accepter. Si quelqu’un décide de mettre sa foi en Jésus et de lui faire confiance, Jésus ne lui prend rien ; bien au contraire, c’est lui qui donne tout à ceux qui veulent bien marcher avec lui et devenir ses disciples son amitié et son intimité, son pardon, son corps, son sang, et enfin la vie éternelle avec lui et avec son Père dans la communion de l’Esprit Saint, pour les siècles des siècles. Amen. Père Alexandre-Marie

n ayons pas peur de vivre au monde